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Liste des morts civils pour la commune dU Plessis-Belleville

Melkebeke Isidore Charles
20 ans. Né le 1er janvier 1894 au Plessis-Belleville, fils de Charles Melkebke et de Prudence Vanhespen, ce garçon charcutier célibataire domicilié dans la commune est retrouvé mort le 5 septembre 1914 sur la Route Nationale n°2 au lieu-dit La Bonne Rencontre.

Sources:
Etat civil du Plessis-Belleville, remerciements à Cédric Hoock.

 
   

 

Libermont DURANT LA GRANDE GUERRE

Libermont connaît l'invasion allemande le 30 août 1914 et subit une occupation de 30 mois durant laquelle les hommes en âge de se battre sont déportés en Allemagne. La présence allemande se manifeste notamment par la présence d'un terrain d'aviation. Lors de la préparation du repli Alberich, les Allemands déportent toute la population vers l'arrière et détruisent la commune.

Libéré durant une année, le village connaît une seconde phase de destruction durant l'offensive allemande de mars 1918

Passé aux mains allemandes, le village n’est libéré qu’au cours de l’offensive générale lancée par le Maréchal Foch le 10 août 1918. Repris par les Français le 18 août 1918, le village n’est plus qu’un monceau de ruines.

Dévastations alllemandes à Libermont en 1917.

Liste des morts civils pour la commune de Libermont

   

Bekaert Edmond

 

Chobeau Maurice

 

Millet Moïse

 

 

Ravenel DANS LA GRANDE GUERRE

La commune connait une brève incursion de uhlans entre le 31 août et le 10 septembre 1914 mais demeure aux mains françaises pendant toute la durée du conflit malgré le passage de soldats allemands le 13 septembre 1914 durant leur repli.
Ravenel subit néanmoins un bombardement le 9 novembre 1916 tuant deux de ses habitants. Commune de l'arrière située sur la route du front, Ravenel est le lieu de séjour de soldats français.
La population est évacuée en juin 1918 lors de l'offensive allemande. La commune se situe à proximité du front du 9 au 10 juin où stationne le Groupement Mangin. Des ambulances s'y installant (la 1/73 et 1/85 dans le château) entre mai et juillet 1918, Ravenel verra s'implanter sur son sol un cimetière militaire qui compte aujourd'hui 69 corps regroupés dans le cimetière civil.


Le cimetière militaire.

Liste des morts civils pour la commune de Ravenel

Villette Edouard
30 ans, tué le 13 septembre 1914.
Né le 30 août 1884 à Ravenel, fils d’Edouard Villette et de Marie Lelong, il exerce la profession de charretier à Ravenel. Il fait son service militaire à compter du 9 octobre 1905 au 150e Régiment d’Infanterie. Il passe le 18 septembre 1906 au 6e Escadron du Train des équipages militaires puis le 11 février 1907 à la 6e section de commis et ouvriers d’Administration. Il est envoyé en disponibilité le 28 septembre 1907 avec un certificat de bonne conduite. Incorporé le 23 avril 1913 à la 5e section de chemin de fer de campagne, il est considéré comme mobilisé à cette section en qualité d’ouvrier de 2e classe dès le début de la mobilisation générale. Marié et père de deux enfants, il est noté employé de la gare à Creil et domicilié à Nogent-sur-Oise. Il est tué le 13 septembre 1914 d’un coup de revolver par des Allemands passant en automobile sur la route de Ravenel à Montigny où il se rendait en bicyclette.
Le tome 1 des Rapports et procès-verbaux d’enquête de la commission instituée en vue de constater les actes commis par l’ennemi en violation du droit des gens (1915) relate les circonstances de son décès : « Le nommé Villette, qui passait à bicyclette sur une route, à proximité du village, rencontra une automobile montée par plusieurs Allemands. Ceux-ci se mirent à tirer sur lui, sans raison. Il sauta alors à bas de sa machine et prit la fuite à travers champs, mais une balle l’arrêta dans sa course. Il est mort quelques heures après, laissant une veuve et deux enfants. »

   Le monument aux morts de Ravenel
où figurent les noms des victimes du bombardement
du 9 novembre 1916.

Desnains Angèle
40 ans, tuée au cours d'un bombardement le 9 novembre 1916.
Son nom est inscrit sur le monument aux morts.

Lory Eugénie
21 ans, fille d’Angèle Denains, tuée au cours d'un bombardement le 9 novembre 1916 (voir Saint-Just-en-Chaussée).
Son nom est inscrit sur le monument aux morts.

Liste des morts civils pour la commune de Mareuil-La-Motte

Carpentier Fernand
20 ans, exécuté le 16 septembre 1914. Selon le récit du curé Desmedt : « 16 septembre 1914 : au début de l'après-midi, les Allemands envahissent le village, fusillent sans motif Duquenne Eugène, conseiller municipal et le jeune Carpentier Fernand 20 ans (ce dernier emmené 15 jours avant par les Allemands avait réussi à leur échapper). Son nom est inscrit au monument aux morts de la commune.

 

Doberset Emile
Mort en septembre 1914 selon le curé Desmedt. Son nom est inscrit au monument aux morts de la commune.

 

Duquenne Eugène
46 ans, exécuté le 16 septembre 1914 selon le curé Desmedt (cf Carpentier Fernand). Son nom est inscrit au monument aux morts de la commune.

 

Levaire Fédora
Mort en septembre 1914 (voir Thiescourt). Selon le curé Desmedt, Fédora Levaire, paroissien de Mareuil-la-Motte,  a été fusillé à Thiescourt. Son nom est inscrit au monument aux morts de la commune.

 

Milan Victor
Mort en septembre 1914. Le registre du curé Desmedt indique : « L'an mil neuf cent quatorze, le dix-neuf septembre, je soussigné curé de Mareuil-la-Motte, ai inhumé les corps de Eugène Duquenne, âgé de 46 ans, fusillé le 16 précédent par les Allemands, Fernand Carpentier, âgé de 20 ans fusillé le même jour par les boches, Victor Milan, oncle du précédent, âgé de 68 ans». Son nom est inscrit au monument aux morts de la commune.

 
   
   
   

 

Liste des morts civils pour la commune de Ribecourt-Dreslincourt

Auboin Lucienne Nersine
2 mois. Née le 24 septembre 1914, elle est la fille naturelle de Savine Auboin (17 ans), sans profession domiciliée à Dreslincourt. « Réfugiée au collège de Noyon après son expulsion par les Allemands », elle décède le 12 novembre 1914 à 20h00 à l’hôpital civil de Noyon rue Pasteur (état civil de Noyon).

 

Becard Alphonse
Noté aussi Becquart. De Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Prisonnier au camp de Cassel, il décède environ trois semaines après son arrivée. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Bourgeois de Boynes Noémie Marie née d’Auray de Saint-Pois
6
4 ans. Née à Paris le 22 avril 1840, sans profession, elle est la fille du comte Louis Norbert d’Auray de Saint-Pois (1806-1851) et d’Emma Ango de la Mothe-Ango de Flers (1813-1860). Elle épouse le 30 septembre 1862 le marquis Gatien Bourgeois de Boynes (1833-1924), capitaine aux gardes mobiles et chevalier de la Légion d’honneur (1871), dont elle aura quatre enfants. Elle est notée hospitalisée à l’hospice de Dreslincourt à la déclaration de guerre. Réfugiée à l’hospice de Noyon depuis son expulsion par l’armée allemande, elle décède le 30 novembre 1914 à l’hôpital de Noyon, n°5 rue Pasteur (état civil de Noyon).

 

Bourguignon Octave
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Veuve Callois Victoria
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Caron Anatole
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Selon l’Abbé Aubry, il fut jeté au cachot pour avoir refusé de travailler aux munitions. Père de cinq enfants, il subit une captivité de 50 mois.

 

Caron Elisée
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Selon l’Abbé Aubry, ce dernier est mort d’épuisement et de maladie quelques jours avant l’armistice. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Caron Ulvina Julia née Desessart
Fille de Théodore Desessart, épouse du manouvrier Eloi Albert Caron de Dreslincourt, elle décède le 21 novembre 1914 au collège de Noyon « où elle s’était réfugiée après son expulsion par l’armée allemande » (état civil de Noyon).

 

Cauche Auguste
De Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Il est noté mort au Zeugh à Rastatt le 18 février 1915. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Catoire Charles
Né à Cambronne le 21 octobre 1874, fils de Charles Catoire et d’Arthémise Victorine Vivot, il est domicilié à Ribécourt en 1914 avec son épouse Laurentine Sophie Ponthieux. Garde-barrière de Ribécourt, il est mortellement blessé par balles en tentant de s’enfuir. Ernest Ponthieux indique dans son « journal de guerre d’un Ribécourtois » qu’il aurait fuit, pris de panique après que les Allemands lui aient demandé les clés de la gare. Il décède de ses blessures le 20  septembre 1914 à l’hôpital civil de Noyon, rue des Planquettes (état civil de Noyon). Une seconde version précise que les Allemands le blessèrent croyant qu’il allait s’enfuir alors qu’il regagnait sa demeure pour chercher un outil. Transporté à l’hôpital de Noyon, il y sera amputé par un major allemand. Charles Catoire est cité à l’ordre de l’Armée le 18 octobre 1921 : « Agent brave et courageux. Blessé à son poste de combat par les Allemands auxquels il refusait de livrer les outils qui lui avaient été confiés. Mort de ses blessures le 20 septembre 1914 » (Voir Cambronne-lès-Ribécourt).

 

Coffinier Gilbert
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Collignon Charles
De Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Copillet
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Melle Copillet Lucie
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Dagneau
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Veuve Davenne Louis
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

David Savinien
5
1 ans. Né à Vandelicourt le 19 octobre 1863, cantonnier célibataire domicilié à Dreslincourt, il est le fils d’Henry David et d’Eugénie Lecomte. Il décède le 3 décembre 1914 « à l’hôpital de Noyon, rue Pasteur, où il s’était réfugié après son expulsion par l’armée allemande » (état civil de Noyon).


 

Deffauchaux Clovis
On note aussi Deffauceux. De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Deperetti Emile Antoine
De Dreslincourt, né à Courbevoie le 4 mai 1831.  L’abbé Aubry le décrit le 20 septembre 1914 dans « Mes prisons » comme un vieillard de 84 ans : « il était dans l’aisance. Lui aussi a faim ; il pleure de misère, et plus encore de rage, car c’est un ardent patriote ; il ne tardera pas à succomber ». Il décède le 24 février 1915. Son nom est inscrit comme victime civile décédée en pays occupée sur le monument aux morts de la commune.

 

Depoix Jules
75 ans. Né en février 1839, il est le fils de Victor Auguste Depoix et de Catherine Bibaux. Cultivateur à Dreslincourt, époux de Marie Ludivine Hachet, il décède le 21 novembre 1914 au 39 rue de Chauny à Noyon, « où il s’était réfugié après son expulsion de Dreslincourt par l’armée allemande » (état civil de Noyon). Son nom est inscrit comme victime civile décédée en pays occupé sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Depoix Jules
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupée. Sans doute Amélie Depoix, décrite par l’abbé Aubry le 20 septembre 1914 dans « Mes prisons » comme une malheureuse octogénaire « chassée de sa ferme par les soldats ; je la reconnais à peine, tant elle est défaite. Elle a faim ; elle n’a plus d’abri ». Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Desessart Alexis
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Desessart Louis Théodore
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Desessart Uranie Marie Catherine née Mabime
Née le 22 octobre 1841 à Pimprez, fille de François Mabime et de Catherine Alliaume, elle est l’épouse du cultivateur Louis Théodore Desessart. Domiciliée à Dreslincourt, elle est décédée le 21 octobre 1914 à Noyon, rue du Gard, au domicile de Mme Trousselle "où elle s’était réfugiée après son expulsion par l’armée allemande" (état civil de Noyon). Elle est notée sur le monument aux morts « victime décédée en pays occupé ». Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Destalmenil Emile
De Dreslincourt, jardinière, tuée lors du bombardement du 16 septembre 1914 par un éclat d’obus alors qu’elle traversait la cour du château de M. Moral. Témoin, l’abbé Aubry indique qu’elle sera enterrée le 20 septembre 1914 par trois soldats allemands à l’entrée du parc du Château après que son corps fut enroulé par l’abbé dans un tapis. Dans « Mes prisons », l’abbé Aubry change son témoignage et indique que « deux habitants réquisitionnés déposèrent [son corps] dans une fosse creusée à fleur de terre.

 

Drangy Julien
Né le 31 janvier 1869 à Moulin-sous-Touvent, fils d’Edouard Drangy et de Louise Eugénie Léonce Pamart, ce manouvrier a fait son service militaire adns le 564e RI en 1890 et 1981. Après avoir élu domicile à Claville en 1896, il s’installe à Dreslincourt en 1906. Non incorporé en 1914, il reste en région envahie. Fait prisonnier civil il est emmené en Allemagne. Il est noté décédé en captivité en Allemagne. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Faburet Eugène
De Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Adjoint au maire, il décède dans le camp de Cassel environ trois semaines après son arrivée. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Fagart Alexandre
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Fagart Joseph Barthélémy
Né à Dreslincourt le 6 juin 1838, routier, fils de Barthélémyy Fagart et Adélaïde Débin, époux de Ismérie Masson, réfugiés à Noyon au 17 rue Calvin, il décède  le 29 janvier 1916. Il est noté victime décédée en pays occupée. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Faquy Cécile Léonie
1 mois. Née le 12 octobre 1914 à l’hôpital civil de Noyon (rue des Planquettes), elle est la fille de Léonard Faqui, manouvrier, et de Laure Callois, manouvrière, tous deux domiciliés à Dreslincourt. Elle décède le 12 novembre 1914 à 14 heures au 27 rue de Chauny à Noyon où ses parents ses sont réfugiés (état civil de Noyon).
 

Faqui Jules
De Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Selon l’Abbé Aubry, il décède dans la prison de Hassenberg le 1er janvier 1915. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Frambourg Rose
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Frambourg Suzanne
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Gérard Alphonse
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Veuve Gréhent
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Hardy Fernand
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Joseph Josette
Née le 2 juillet 1914 à Ribécourt, elle est notée réfugiée de Ribécourt à Compiègne où elle décède le 26 octobre 1914 (AD60 -Rp 1933).

 

Lardot Célina Adolphine née Duterque
Née à Dreslincourt le 6 octobre 1856, décédée à Noyon le 9 avril 1915. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune, décédée en pays occupé.

 

Lardot-Duterque
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mahon Auguste
De Dreslincourt, tué pendant le bombardement.

 

Mahon Léon
De Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mérisse Ernest
De Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Mittelette Félicie
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Mme Moral
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victimes civiles sur le monument aux morts de la commune.

 

Poiriez Suzanne Marie
6 mois. Né le 23 mai 1914 à Dreslincourt, fille d’Oscar Poirier, mineur, et de Marie Frambourg, manouvrière, elle décède le 15 novembre 1914 au collège de Noyon où elle était réfugiée (état civil de Noyon).

 

Pollet Anna Clarisse née Simbozel
Née à Dreslincourt, manouvrière, épouse d'Emilien Clodomir Pollet, décédée le 11 janvier 1915 à l’hôpital de Noyon rue de Paris où elle s’était réfugiée après son expulsion par l’armée allemande. Notée victime décédée en pays occupée. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Pollet Jeanne
1 an. Née le 8 avril 1913 à Dreslincourt, elle est la fille du cultivateur Emilien Clodomir Pollet et d’Anna Clémence Simbozel. Ils sont notés « résidant à Noyon où ils ont été internés au collège après leur évacuation de Dreslincourt par l’armée allemande » (état civil de Noyon). Elle décède le 4 novembre 1914 à 4h00 du matin. Son nom est inscrit comme victime civile décédée en pays occupé sur le monument aux morts de la commune.

 

Poucet Auguste
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Quequet Aline
De Dreslincourt, victime décédée en pays occupé. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Ricard Cyprienne
11 mois. Née à Dreslincourt le 1er janvier 1914, fille du brossier Aristide Auguste Ricard et de Marthe Jeanne Ban, elle décède le 20 novembre 1914 au collège de Noyon « où ses parents s’étaient réfugiés après l’expulsion par l’armée allemande (état civil de Noyon).

 

Ricard Marie
1 jour. Née le 2 novembre 1914 à l’hôpital de Noyon, fille du brossier Aristide Auguste Ricard et de Marthe Jeanne Ban, elle décède le lendemain 3 novembre à 16h00. L’état civil de Noyon indique que les époux Ricard sont « domiciliés à Dreslincourt, résidant à Noyon où ils ont été internés au collège après leur évacuation de Dreslincourt par l’armée allemande ».

 

Remy Marie Louise
Née à Machemont le 19 octobre 1905, elle est notée réfugiée de Ribécourt à Chevrières où elle décède le 20 octobre 1914 (AD60 – Rp1933).

 

Soucque Marguerite née Paire
De Dreslincourt, veuve de Jean Soucque, hospitalisée à Dreslincourt, décédée à l’hôpital de Noyon, rue Pasteur, le 8 février 1916.

 

Tarlay Rosine née Leroy
Née à La Croix-Saint-Ouen le 21 août 1842, épouse d’Alexandre « Tarlez », garde-champêtre à Dreslincourt, décédée à l’hôpital de Noyon rue Pasteur, où elle s’était réfugiée après son expulsion par l’armée allemande. Notée victime décédée en pays occupée.

 

Tarlay Narcisse
le 17 mai 1858 à Dreslincourt, victime décédée en Allemagne. Son nom est inscrit comme victimes civiles sur le monument aux morts de la commune.

 

Vavot Marie Caroline née Rémy
Née à Thourotte le 24 juillet 1835, venant de Dreslincourt, elle décède à Noyon le 30 décembre 1915 (AD60 Rp1933).

 

Vermont Emilienne
Née à Ribécourt, elle est notée réfugiée de Ribécourt à Compiègne où elle décède le 27 novembre 1916 (AD60 – Rp1933).

 

Villain Charles Désiré
Né le 13 août 1850 à Dreslincourt, il est notée réfugié de Dreslincourt à Chevincourt où il décède le 29 mai 1917 (AD60 – Rp 1933). Son nom est inscrit comme victime civile décédée en pays occupée.sur le monument aux morts de la commune.

 

Vilquin Lucien Charles Albin
Né le 12 février 1911 à Ribécourt, il est noté réfugié de Ribécourt à Compiègne où il décède le 14 juillet 1915 (AD60 – Rp1933).

 

Visse Louis
Né à Machemont le 13 avril 1867, fils de François Visse et Ambroisine (Pe…), époux de Marie Bonival, domiciliés à Dreslincourt, réfugiés à Noyon. Il est décédé à l’hôpital, rue Pasteur, le 4 janvier 1916. Noté victime décédée en pays occupée. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Zoffer Elise née Desessart
Née à Dreslincourt le 30 mai 1881, épouse de Henri Zoffer, manouvrier âgé e 38 ans, réfugiés à Noyon et décédée au collège de la Noyon le 20 février 1915. Notée victime décédée en pays occupée sous le nom « Sauveur ». Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Zoffer Flore Catherine
Née à Dreslincourt le 6 octobre 1906, décédée au collège de la Noyon le 19 février 1915. Notée victime décédée en pays occupée, sous le nom « Sauveur ». Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Zoffer Agnès Marie-Louise
Née à Dreslincourt le 21 juillet 1900, décédée au collège de la Noyon le 19 février 1915. Notée victime décédée en pays occupée sous le nom « Sauveur ». Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Zory Jacques Philippe Arcade
Né à Dreslincourt le 12 janvier 1848, époux de Tarlay Marie Appoline, décédé le 17 septembre 1914, mortellement blessé dans sa maison par un obus pendant le bombardement du 16 septembre 1914. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.