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Evricourt DANS LA GRANDE GUERRE
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La commune d’Evricourt connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich", mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. Le village, quant à lui, est totalement détruit par les Allemands appliquant la stratégie de la terre brûlée. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. La commune est de nouveau envahie en juin 1918 mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre d'évacuation de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 28 août 1918 mais n’est plus que ruines à la suite des bombardements. |
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Liste des morts civils pour la commune de Evricourt |
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Bonival Célina, née Grincourt |
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Douvion Louis |
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Galon Roger |
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Morelle Clovis |
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Séguin Edouard Ernest Edmond |
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Trousselle Henri Son nom figure sur le monument aux morts de la commune. |
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Margny-aux-Cerises DANS LA GRANDE GUERRE
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La commune de Margny-aux-Cerises connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Le 24 mars 1918, trois jours après l'offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 28 août 1918. |
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Liste des morts civils pour la commune de Margny-aux-Cerises |
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Poirier Marie Angéline née Truffet |
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Robida Elisa née Lacroix |
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Tocy François 83 ans, décédé à l’hôpital de Royallieu de Compiègne le 26 mars 1917.
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PlessiS-de-Roye dans la Grande Guerre
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Plessis-de-Roye subit l’invasion le 1er septembre 1914 puis devient un enjeu militaire lors de la fixation du front consécutif au repli allemand après la bataille de la Marne. Du 15 septembre au 15 octobre 1914, des combats acharnés s’y déroulent tandis que s’opère la Course à la mer, notamment les 21 et 22 septembre. Face à Lassigny demeuré aux mains allemandes, les soldats français s’enterrent devant Plessis-de-Roye. Le château et l’église deviennent des cibles priviligés des tirs d’artillerie. Le 19 octobre 1915, les derniers habitants restés sur place sont évacués. Après trente mois de répit, la commune subit une seconde invasion. L’offensive allemande lancée devant Saint-Quentin le 21 mars 1918 porte ses fruits. Le 25 mars, le Plémont est enlevé mais les forces allemandes buttent sur les anciennes lignes de 1914-1917 que les Français tiennent. Le 30 mars, une attaque française lancée depuis Plessis-de Roye parvient à stopper l’enenmi. Le Régiment d’Infanterie Colonial du Maroc se distingue dans cette action. La commune tombe cependant lors de l’offensive allemande du 9 juin 1918 qui parvient à dépasser Ressons-sur-Matz et à atteindre Méry. Le front se fige deux jours plus tard jusqu’à l’offensive générale lancée par le Maréchal Foch le 10 août 1918. Les combats sont alors de nouveau virulents et, le 21 août, le 299e RI parvient à enlever le château puis à libérer la commune totalement détuite. |
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Liste des morts civils pour la commune de PlessiS-de-Roye |
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Cugnière Gilbert |
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Frein Louis |
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Mme Frein Louis Notée victime civile sur la plaque commémorative dans l'ancienne église. |
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Frère Henri Noté victime civile sur la plaque commémorative dans l'ancienne église. |
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Villain Désiré |
Dives DANS LA GRANDE GUERRE
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La commune de Dives connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich", mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. Le village, quant à lui, est totalement détruit par les Allemands appliquant la stratégie de la terre brûlée. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. La commune est de nouveau envahie en juin 1918 mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre d'évacuation de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 28 août 1918 mais n’est plus que ruines à la suite des bombardements.
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Liste des morts civils pour la commune de Dives |
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Bourse Alfred |
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Bourse Paul
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Caillet Félicien |
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Carpentier Raymond |
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Degauchy Louis |
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Desseaux Xavier |
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Faquet François
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Gosselin Léon |
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Legivre Edouard |
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Lerat André |
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Pellieu Aguila |
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Petrigny Henri |
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Souply Albert Alexandre Né à Noyon le 17 décembre 1914, fils naturel de Florida Marie Elvina Souply, manouvrière domiciliée à Amy et réfugiée à Noyon, il décède au n°39 rue des Tanneurs à Noyon le 30 décembre 1914. |
Liste des morts civils pour la commune de Saint-Léger-aux-Bois
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Famille Delnef |
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