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Liste des morts civils pour la commune de vendeuil-caply

Lequesne
Cordonnier à Vendeuil-Caply, tué par un bombardement par canon, 20 mai 1918 de 16 heures à 19 heures à Breteuil place de la République.

 
   

 

vauchelles DURANT LA GRANDE GUERRE

La commune de Vauchelles connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne.

La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. Appliquant la stratégie de la terre brûlée, le village est détruit notamment l’église qui est dynamitée le 16 mars. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict.

Avec l’offensive allemande sur la Picardie (21 mars 1918) arrêtée au mont-Renaud, Vauchelles se trouve sous le feu des bombardements durant plusieurs mois. Le 10 juin 1918, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir le 23 mars sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 18 août 1918.

 

Liste des morts civils pour la commune de vauchelles

Caron Albert Alfred Joseph
Né le 28 juillet 1890 à Vauchelles, fils de Victor Caron et d’Armande Lesage, ce manouvrier est exempté du service militaire en 1911 pour faiblesse générale t palpitations. Il est déclaré bon absent d’office par décret du 9 septembre 1914, il est appelé à l’activité à compter du 18 mai 1915 et est déclaré insoumis le 26 décembre 1915. Prisonnier civil emmené le 12 février 1917, il décède le 20 février 1919 à Saint-Hilaire sur Helpe. Il est noté mort prisonnier en 1915 sur le monument aux morts.

 

Lemaire Edmond Athanase Jean
Né le 17 novembre 1882 à Vauchelles, fils de Joseph Lemaire et de Pascaline Martin, ce manouvrier est d’abord dispensé de service militaire en raison d’un frère déjà sous les drapeaux, puis sert au 54e Régiment d’Infanterie de 1903 à 1904. Resté à Vauchelles pendant l’occupation allemande, il est fait prisonnier civil et déporté en Allemagne. Il décède au camp de Niederzwehren près de Cassel le 15 avril 1915. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Masson Jean-Baptiste
Mort otage en 1918. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Talon Jules
Mort prisonnier en 1915. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Trouillet Lucien
Fusillé par les Allemands le 30 août 1914 (voir Porquéricourt). Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

 

quesmy DANS LA GRANDE GUERRE

 

La commune de Quesmy connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne.

La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes.

La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict.

Le 24 mars 1918, trois jours après l'offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation.

La commune est libérée le 28 août 1918.

 

Liste des morts civils pour la commune de quesmy

Moy Yves
Né en 1866 à Pleuc (Côtes du Nord), cet ouvrier agricole chez Capaumont est marié à la journalière Marthe Prévost, née en 1875 à Quesmy. Il est le père d'Yvonne, née en 1897, et réside rue de l'Eglise. Il est mort le 28 juillet 1918.

 
   

 

varesnes Dans la Grande guerre

La commune de Varesnes connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes.

La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict.

Le 24 mars 1918, trois jours après l'offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation.

La commune est libérée le 2 septembre 1918.

 

Liste des morts civils pour la commune de varesnes

Favresse E
Mort en captivité. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Flandrin Georges Aimé
Né le 14 avril 1894 à Varesnes, domestique de ferme, mort le 13 novembre 1918 à l’hôpital de Fourmies (Nord) en captivité. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Hauteur V
Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Jourdain L
Mort en captivité. Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Sézille C
Son nom est inscrit comme victime civile sur le monument aux morts de la commune.

 

Vandendriesche Joseph
Né à Varesnes le 3 avril 1866, il est noté réfugié de Varesnes à Noyon où il décède le 18 janvier 1915 (AD60 – Rp 1933).

 

Villain Louis Alexandre Théodore
Charpentier, évacué, mort le 11 juillet 1918 à l’hôpital Charleville (Ardenne), mort en captivité.

 

 

 

Savignies DURANT LA GRANDE GUERRE

La commune de Savignies connaît une incursion allemande le 16 septembre 1914 lorsqu’elle est traversée par un commando allemand en automobile chargé de faire sauter le viaduc ferroviaire d’Oissel. Le beau-frère du propriétaire de la ferme du Moulin est tué lors de cette incursion.

La commune devient ensuite un lieu de cantonnement et d’exercice pour les troupes françaises jusqu’à la fin de la guerre.

 La mairie de Savignies.

Liste des morts civils pour la commune de Savignies

Bertin Constantin
Propriétaire de la ferme du Moulin, tué de deux balles le 16 septembre 1914 par des soldats français lors du raid allemand de Tilling.