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Breteuil-sur-Noye DANS LA GRANDE GUERRE
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La commune de Breteuil ne connaît pas l’invasion allemande mais se situe à proximité du front de l’Oise et de la Somme durant la guerre de position (1914-1917) puis lors des batailles de Picardie (mars-août 1918). Breteuil est une ville de l’arrière front, lieu de passage et de cantonnement des troupes françaises mais aussi lieu d’implantation d’un parc à bétail, d’ambulances, d’hôpitaux temporaires, d’un camp de prisonniers allemands et d’un camp d’aviation. Breteuil devient le siège de quartiers généraux dont celui de la Xe Armée du général Micheler (juillet 1916), de la 56e DI du général Demetz (avril 1918) et de la 1ère Armée du général Debeney (avril 1918). C’est ainsi que le 12 avril, une réunion stratégique s’y tient en présence de Georges Clemenceau, des généraux Horne, Foch, Fayolle, Debeney et Weygand. Si le recensement de 1911 dénombre 2700 habitants à Breteuil, il n’en restera que 10 au lendemain de l’évacuation de la population civile au printemps 1918. La ville est alors placée sous le feu des canons et de l’aviation. C’est dans ce contexte que deux civils sont tués dans un bombardement de la ville. Dans la nuit du 22 au 23 août 1918, la gare de Breteuil est détruite par un bombardement aérien touchant un train de munitions et un train sanitaire (marqué de la Croix-Rouge). La ville reçoit la Croix de guerre le 23 octobre 1921. |
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Liste des morts civils pour la commune de Breteuil-sur-Noye |
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Sense Thérèse, née Gurey Gantière à Breteuil, morte dans le bombardement par canon de Breteuil le 20 mai 1918 entre 16 heures et 19 heures. |
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Tavet Louise |
Caisnes DANS LA GRANDE GUERRE
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Caisnes connaît l'invasion allemande le 1er septembre 1914. La commune est occupée jusqu'en mars 1917, les troupes allemandes se logeant dans les maisons du village comme en témoignent les inscriptions tracées sur le mur de maisons dans le hameau de Bellefontaine. |
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Liste des morts civils pour la commune de Caisnes |
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Cauchie Albert |
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Colnet Edouard Son nom est inscrit sur le monument aux morts de la commune. |
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Gagnon Mélie Son nom est inscrit sur le monument aux morts de la commune. |
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Gébleux Eugène Charles |
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Goret Etienne |
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Guérin Marie Catherine Amélie |
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Potoski Jean Baptiste Son nom est inscrit sur le monument aux morts de la commune. |
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Turbin Emile |
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Varet Jules |
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Vasseur Edmond |
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candor DANS LA GRANDE GUERRE
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La commune de Candor connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Passé sous commandement britannique, le village est le siège d’une scierie canadienne. Le 24 mars 1918, trois jours après l'offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 2 septembre 1918. |
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Liste des morts civils pour la commune de candor |
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Berton Armand Louis |
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Censier Armand |
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Delnef Désiré |
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Delnef Noémie |
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Vincent Charles |
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Campagne DANS LA GRANDE GUERRE
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La commune de Campagne connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Le 24 mars 1918, trois jours après l'offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 2 septembre 1918. |
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Liste des morts civils pour la commune de Campagne |
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Cugnier Emilien |
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Devillers Raoul |
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Lefort Léon |
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Cannectancourt DANS LA GRANDE GUERRE
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Cannectancourt connaît l'invasion le 1er septembre 1914 puis une occupation de trente mois durant laquelle la population civile subit une importante présence militaire, les privations et les bombardements français. |
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Liste des morts civils pour la commune de Cannectancourt |
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Caron Eugène |
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Caron Léonard |
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Degauchy (Anatole ?) Désiré Nicolas 55 ans, né le 6 décembre 1859 à Cannectancourt, époux de Marie Mathilde Henriette Gobillard. Il est tué par un obus le 28 septembre 1916 à 9 heures du soir. Son nom figure sur le monument aux morts de la commune. |
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Degauchy Julien |
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Depoix Alexandre dit Laurent |
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Depoix Hyppolite Théodore |
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Mabime Marie Héloïse Célina [Célias] née Coutant |
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Frère Marie née François |
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Mélique Mathilde, née Frère |
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Poix Lise Rose Elise |
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Rabache Marie Hortense 87 ans, née à Cannectancourt, elle est notée réfugiée de Chiry-Ourscamp à Grandrû où elle écède le 23 mars 1917 (AD60 – Rp1933). |
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Stra Marie née Poix |
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Poix Rosa Charlotte, née Bussart |
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Poix Georges Virgile Eusèbe |