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LISTE DES MORTS CIVILS DE LA COMMUNE DE VENETTE |
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Lacherez Charlemagne |
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Lacherez, née Desmarquet |
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Lacherez André |
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Lacherez Méonide |
Liste des morts civils pour la commune de vendeuil-caply
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Lequesne |
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Chamant DANS LA GRANDE GUERRE
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Chamant connaît l'invasion allemande du 2 au 10 septembre 1914 puis devient le lieu de cantonnement de troupes françaises en stationnement. | |
La commune est marquée par la tragédie de Senlis: la prise d'otages civils, dont le maire de Senlis Eugène Odent,, emmenés de force à Chamant pour y être exécutés et enterrés. | ![]() |
Liste des morts civils pour la commune de Chamant |
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Jandin Louis Alfred Né à Chamant le 3 octobre 1880, boulanger à Senlis, il est arrêté sur la route par le 49e régiment poméranien d’infanterie. Il est retrouvé mort à Villers-Saint-Frambourg le 3 septembre 1914, attaché à un poteau, le corps lardé de coups de baïonnettes (voir aussi Senlis). |
sermaize DURANT LA GRANDE GUERRE
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La commune de Sermaize connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Le 24 mars 1918, trois jours après l'offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 30 août 1918. |
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Liste des morts civils pour la commune de sermaize |
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Chatelain Jean-Baptiste |
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Durot Charles |
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Michel André Mort en déportation. Son nom figure sur le monument aux morts de la commune. |
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Pinard Isabelle |
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BABOEUF DANS LA GRANDE GUERRE |
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La commune de Baboeuf connaît l'invasion allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. La commune est libérée le 18 mars 1917 suite au repli allemand "Alberich" mais les habitants ont été déplacés, les "bouches inutiles" vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes. Peu avant le retrait, Baboeuf reçoit un grand nombre de vieillards et d'impotents qui sont logés dans des granges dans la commune. Bon nombre d'entre eux décèdent en raison de privations. La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Le 24 mars 1918, trois jours après l'offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation. La commune est libérée le 2 septembre 1918. |
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Liste des morts civils pour la commune de BaboeUf |
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Baudry Albert |
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Baudry Siméon |
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Carbonnier Joseph Rémy |
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Ferandelle Fernand Gustave |
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Férandelle Pascal dit Maxime 50 ans, né le 13 mai 1874 à Baboeuf, ce cordonnier est le fils d’Hilaron Férandelle et de Périne Armande Gorlet. Il fait son service militaire dans le 1er Bataillon de Chasseurs à Pied à partir du 14 novembre 1891. Réformé n°2 le 21 novembre 1895 par la commission spéciale de Verdun pour endocardite, il passe dans la réserve au 13e RIT à Compiègne. Resté dans les régions envahies, à Baboeuf, il est fait prisonnier civil et déporté en Allemagne. Il décède le 13 avril 1915 au camp de Niederzwehren sans doute du typhus. Son nom est inscrit sur le monument aux morts de la commune. |
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Frazier Adrien |
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Mailly Léon |
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Maréchal Edmond |
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Plaquet Arthur |
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Tertieux René |
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Villain Achille |
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Villion Théophile |